Time out (Ciné)

Hello tout le monde! Eh oui, aujourd’hui est le jour où vous allez dégustez blindé d’articles, vu que mon weekend ciné a juste été amputé de Snow White et de Centurion, que j’ai tout de même gardé au frais pour tout à l’heure.

Et donc, me voilà, toute fraiche comme une gardonne, prête à faire une review ô combien inutile d’un film ô combien inutile lui aussi, Time out. Ou In time. encore la preuve que la traduction française des titres originaux est naze.

Y a pas de spoilers, promis!

Dans un futur proche, les êtres humains ne vieillissent pas physiquement au-delà de 25 ans. Et dès cet anniversaire, une drôle de montre tatouée sur leur bras s’enclenche. Si cette montre tombe à zéro, c’est simple: on meurt. Et le temps devient subitement une denrée précieuse…

In time, ça commence bien. Un thème accrocheur, celui de la vie éternelle, compromise par le fait qu’évidemment cette vie éternelle ne peut être effective que pour les grands de ce monde, ceux qui ont bien assez de temps à revendre.

Mais cours, bon sang, on va rater le bus!

Justin Timberlake, en héros non-bafoué et intègre, en jette une petite. Garçon du ghetto, pauvre Will se bat chaque jour pour qu’à la fin de la journée, sa mère et lui aient tous deux assez de temps pour voir la journée suivante. Celui-là, c’est un personnage presque crédible.

My name is Salas, Will Salas

Matt Bomer, el bogoss, qui fait une apparition surprise qui a fait plaisir… 😉

Alex Pettyfer, maintenant, qui est là on ne sait pourquoi, en fait, à part pour chiper du temps aux gens parce que c’est un gros con. Voilà. Pointless donc.

Cillian Murphy, de la tête de qui je ne me lasserai jamais, qui nous fait un genre Agent Smith du temps, badass et tout. Raymond. Un prénom à chier. Mais un bon personnage, qui commence à piger les dérives du système qu’il défend. Et en fait, le manteau, on aurait dit une copie de Barty Croupton Jr. Si, vous savez, Dave dans Harry Potter. 🙂

Amanda Seyfried, qui ne sert à rien. C’est bête, je commençais à bien l’apprécier, cette gamine, après Mamma Mia!. Eh ben, mon avis a quelque peu changé.

Coupe Mireille Mathieu: activée!

Olivia Wilde, enfin. J’ai pas trop capté le but de ne pas faire vieillir les gens après 25 ans quand Will et sa mère ont obviously la trentaine bien frappée. Mais bref. Elle était cool, Maman Salas. Jusqu’à ce que…

Bref, malgré un message on ne peut plus actuel et tout, Time out/In time est très très mal exploité, tant au niveau du jeu discutable de ses interprètes principaux qu’au niveau du cadrage ou tout simplement de l’esthétique/dynamique du film. Je veux bien que les richards n’ont pas besoin de courir, mais un film trop lent, ça embête, à partir d’un moment, nan?

Note: 6/10 (scénario: 5/10 (mal mal mal exploité, le sujet, bon sang!)jeu: 6/10 (Cillian, merci d’exister)BO: 5/10 (beuh, y en avait une?)message: 8/10 (allez, on va rattraper tout ça))

a1

 


Commentaires

4 réponses à « Time out (Ciné) »

  1. […] Time Out (Ciné): je me suis ennuyée et pourtant ça aurait pu être un meilleur […]

    J’aime

  2. Visiblement j’avais passé un bien meilleur moment que toi lorsque j’avais vu ce film même si je comprends bien tes reproches. Mais le message du film avait suffi à m’emballer dans le film.
    Et puis Cillian est exceptionnel, nous sommes d’accord.

    En tout cas, ça me donne envie de revoir le film, voir si avec le temps mon opinion serait la même.

    J’aime

    1. Pour être honnête, avec le temps, je l’apprécie un peu plus… 😀

      Ah mais Cillian depuis Sunshine c’est mon chouchou! 😉 Il est vraiment très doué comme acteur…

      Aimé par 1 personne

      1. Sunshine, j’avais adoré. Les plans sur le soleil quand ils sont dans la navette sont tellement magnifiques, je pourrais m’y perdre et les regarder pendant des jours !

        J’aime

Laisser un commentaire