Eh oui! Ça m’arrive de regarder de bons vieux classiques, même si je n’apprécie pas trop l’américanisation de ce cher Bond, James Bond… M’enfin, c’est toujours du cinéma…
Et c’est là que je confirme, Daniel Craig est mieux quand on voit pas sa tête…
Spoilers alert. Just sayin’.
Après la trahison et la mort de Vesper, James Bond essaie toujours de découvrir qui a poussé la femme de sa vie à de telles actions. Lorsqu’il commence à avoir de sérieux soupçons sur un certain Dominic Greene, James demande de l’aide à son vieil ami Matisse…
Mathieu Amalric. La seule raison valable pour laquelle j’ai regardé ce film. J’avais adoré Casino Royale, rapport à la présence d’Eva Green, que j’adule. Mais bon, là, le scénario est vilain tout plein et en plus, on comprend pas la fin… Su-per!
Olga Kurylenko, ou la russe qui se fait bronzer pour faire croire qu’elle est moitié bolivienne. Hyper logique et très convaincant… Daniel Craig, ou le James Bond qui « a mal » et qui bute tout ce qu’il touche parce que ça a « forcément » rapport avec la mort de sa chérie. Mouais… Gemma Arterton, ou l’anglish qui décide de coucher avec James pour ensuite décéder pour cause d’overdose de goudron… Mais où est passé la classe britannique? Où est passé Sean Connery avec ses blagues d’andouille, et Pierce Brosnan avec son sex-appeal qui traverse les océans?
Je me meurs, et avec moi meurs l’estime que j’avais récemment gagnée sur la nouvelle saga James Bond… Mes amis, tant qu’à déglinguer un mythe, valait mieux le laisser mourir après le départ de Pierce, au moins vous seriez partis en pleine gloire…
Non, vraiment, je ne comprends pas comment cet opus a pu être autant apprécié. Je ne vois qu’un scénario digne du pire film d’action de Sly, des effets spéciaux inexistants et un agent secret qui a perdu toute sa classe…
Dommage.
Note: 6/10 (scénario: 4/10 – jeu: 7/10 – BO: 8/10 (le seul truc bien peut-être) – effets spéciaux: 5/10)
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