Pirates of the Caribbean: Dead men tell no tales (Ciné)

Bonjour tout le monde!

Aujourd’hui, on va parler piraterie! On va parler plus précisément du cinquième opus de la franchise Pirates of the Caribbean, intitulé Dead men tell no tales. Un film qui a appâté le chaland pas forcément de manière très honnête…

Je ne spoile rien! 🙂

Synopsis

Le jeune Henry Turner a fait une promesse: il veut retrouver le trident de Poséidon pour briser la malédiction de son père. Pour ce faire, il part à la recherche du célèbre pirate ami de ses parents, Jack Sparrow. Sauf qu’ils réveillent tous deux un vieil ennemi de ce dernier, le Capitán Salazar

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Pirates of the inconsistency

Après l’horreur intersidérale que fut On stranger tides, la franchise Pirates avait sacrément perdu de sa superbe, il faut bien l’avouer. Un lead en manque de mojo, des personnages bien-aimés soudainement disparus des radars, un méchant iconique devenu pathétique… Rien n’allait, mais alors, vraiment rien.

Je n’attendais donc pas grand-chose de ce cinquième opus, si ce n’était du renouveau dans le bon sens du terme. Et il ne fut pas étonnant du tout que, pour faire mieux que ce quatrième film en écume, Disney a décidé de rappeler certains vieux de la vieille. Ou en tout cas, un: Orlando Bloom. Je ne spoile rien, puisqu’il était dans les bandes-annonces.

Mais si vous vous attendez à ce que Will Turner revienne sur le devant de la scène, n’espérez pas trop. En effet, notre pirate sexy au bandana a en tout et pour tout trois minutes d’écran sur la totalité du film, MAIS il est vrai que l’intrigue tourne finalement autour de lui et de comment le sauver de la malédiction de Davy Jones.

Et c’est là que le bât blesse le plus, finalement, dans ce sens où les fans de la première heure se seront hypés comme jamais, pour ensuite être déçus puissance trois mille. :/ Je crie à l’arnaque, et Disney le sait pertinemment.

Outre cela, il faut également accepter que le personnage de Jack Sparrow est en décrépitude depuis At world’s end. Un héros qui a perdu presqu’entièrement sa superbe, qui n’est plus que l’ombre du génie de la première trilogie, qui n’est devenu, finalement, qu’une grosse blague.

Et j’accuse les scénaristes, pour le coup, car lors de rares moments d’éclats, on retrouve le Jack des premiers jours, cinglé mais terriblement génial. Rares, les moments. Malheureusement.

Finalement, ce cinquième opus ne vaut la peine d’être vu que grâce à son antagoniste, génialissime (surtout en VO), et à quelques scènes dignes de Curse of the Black Pearl.

Je déplore donc…

Let’s talk shop

Parlons donc du casting.

Johnny Depp (Edward Scissorhands) a beau connaitre son Jack sur le bout des doigts, il est donc malheureusement tributaire de ce qu’on lui fait faire, et c’est trop souvent trop bas de gamme pour un acteur de sa trempe…

Il a pour acolytes, cette fois, Brenton Thwaites (Maleficent) et Kaya Scodelario (The Maze Runner) qui n’ont pas les meilleurs personnages du monde…mais on ne peut s’empêcher de les comparer à Will et Elizabeth, donc fatalement, c’est moins bien… :/

On voit également revenir le génialissime Geoffrey Rush (The King’s Speech) dont le Barbossa a subi une transformation dégueulasse et loooooin d’être à la hauteur de son personnage dans le film précédent. Ici, il retrouve quelque peu de sa superbe, et tant mieux, même si je suis toujours vénère.

Quant au grand méchant, il aura cette fois les traits du grand Javier Bardem (Vicky Cristina Barcelona), merveilleux dans le rôle et qui me conforte dans l’idée qu’il ne sait rien mal jouer. 🙂 Il sauve le film, selon moi.

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Et je ferai un coucou appuyé à deux habitués de la Terre du Milieu, que j’ai été plus que ravie de retrouver ici: Adam Brown (The Hobbit), notre Óri chéri; et David Wenham (The Lord of the Rings), mon Faramir d’amour de ma vie, à qui l’uniforme sied décidément toujours très bien. 😛

En résumé, PotC semble avoir définitivement perdu de sa superbe, pour maintes et maintes raisons. Dommage.

Sur ce, je retourne revoir Curse of the Black Pearl.

Notes

Bigregirl: 6,5/10

Rotten Tomatoes: 3/10

Allôciné: 6,8/10

Note moyenne: 5,4/10

Bandes annonces

Fiche technique

Titre: Pirates of the Caribbean: Dead men tell no tales

Réalisateurs: Joachim Rønning, Espen Sandberg

Scénariste: Jeff Nathanson

Producteur: Jeff Bruckheimer

Société de distribution: Walt Disney Studios

Musique: Geoff Zanelli

Durée: 123 minutes

Rating: PG-13 (interdit aux moins de 12 ans)

Langue originale: Anglais

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Sources

Rotten Tomatoes

Allôciné


Commentaires

6 réponses à « Pirates of the Caribbean: Dead men tell no tales (Ciné) »

  1. […] [33/52] Pirates of the Caribbean: Dead men tell no tales […]

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  2. Arf, gros loupé alors 😦
    Je devais aller le voir et finalement ça ne s’est pas fait… Tant mieux apparemment ^^

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    1. Il est pas si mal, mais Johnny est sérieusement à deux doigts de tout faire foirer et ça c’est con. Heureusement qu’il y a Tonton dans cet opus, en fait. 😉

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      1. C’est dommage parce qu’il était parfait dans ce rôle 😦

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      2. Oui je sais vraiment pas ce qui s’est passé dans sa tête mais il a totalement perdu son mojo… 😦

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  3. […] Pirates of the Caribbean: Dead men tell no tales, de Joachim Rønning and Espen Sandberg, avec Johnny Depp, Brenton Thwaites et Javier […]

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