La rétro: Armaggedon (Ciné)

Bonjour le monde! Sisi, je vous l’avais promise, la voilà… ^^ J’vous préviens, l’usage de mouchoirs est fortement recommandé…

Et nous voici donc revenir dans les glorieuses années 90, quand Bruce Willis avait encore des cheveux, et quand Steve Buscemi a définitivement volé mon coeur… 🙂

Spoilers alert, c’est une rétro!

Une gigantesque météorite se dirige vers la Terre. Le seul espoir de l’Humanité, c’est de forer un trou en son centre et d’y placer une ogive nucléaire. Et qui de meilleur pour le job qu’une bande de foreurs spécialisés en conditions extrêmes?

Armaggedon, c’est le premier film catastrophe qui est cool. C’est vrai, vu le nombre improbablement élevé de bouses que les Américains ont pondu après le phénomène, on pouvait se poser des questions. Mais non, Armaggedon est le meilleur. Et pourquoi? Ben, parce qu’il possède un des castings les plus fous de l’histoire de Michael Bay (et tout ça, parce qu’on admirera l’absence du fessier obscène de Megan Fox).

Epicness reloaded

Bruce Willis, tout d’abord, Sir le héros du film, avec sa classe, son vocabulaire, et ses valeurs de Daddy qui adore sa fifille et qui supporte pas qu’elle soit tombée amoureuse d’un pauvre type faisant le même métier que son père. Bref. Bruce est cool. As usual.

Ben Affleck et Liv Tyler, ensuite, qui forme un des couples les plus insupportables de l’histoire du cinéma. Non, je ne les supporte toujours pas mais, heureusement, le film étant basé sur Papa, on voit pas trop Fifille et Beau-fiston.

Et profusion de seconds rôles tous plus géniaux les uns que les autres. J’vais commencer par les meilleurs. Steve Buscemi, d’abord, qui joue le surnommé Carotte (ça vous dit rien comme allusion perverse?), un gentil génie un peu chiant sur les bords mais qui est drôlement drôle, quand même. Probablement l’atout rigolade du film, surtout à travers: « We’re stayin’, we’re goin’, we’re stayin’, we’re goin’, make up your mind! ». Voilà.

Si on meurt, j’te bute.

Peter Stormare, aka le Suédois le plus classe de tous les temps. Ceux qui ont regardé Prison Break au tout début et Constantine me comprendront. Lev est génial. Ça donne envie de kiffer les Russes. Parce que « This is how we solve problems in Russian space station. »

 

Michael Clarke Duncan, le gentil géant noir de la Ligne Verte (tiens, un autre Tom Hanks où on pleure).

Owen Wilson, que j’aime d’amour, parce que Midnight in Paris était fait pour lui.

William Fichtner, parce qu’il fallait bien DEUX Prison Breaker pour arranger le chmilblick, et que Mahone, je ne le supporte pas. Never.

Gary Sinise, pour faire coucou à Mission to Mars en passant (qu’est-ce que j’ai pleuré devant ce film!).

Billy Bob Thornton, parce que je le déteste sauf dans ça. Voilà qui est dit.

 

Et une BO de malade aussi. Parce que les bons films, ça se déguste avec une BO qui fait pleurey. Et comme quoi, y a pas que Hans Zimmer qui gère cet exploit.

Bref, mes ptis amis, quand on a envie de se retrouver back du temps où le cinéma américain produisait moins de bouses et plus de bons films, on attrape sa collection Ultimate Jerry Bruckheimer et on mange ça. Avec un Pearl Harbour de derrière les fagots, les larmes ne couleront plus pendant un mois après.

Quoique, dans le style bons films oubliés, j’devrais ptêt me pencher sur Braveheart et Danse avec les loups, nan? 😉

 

Note: 8/10 (scénario: 9/10 jeu: 8/10BO: 8 /10effets spéciaux: 7/10 (elle est laide, l’astéroïde))

a1

 


Commentaires

4 réponses à « La rétro: Armaggedon (Ciné) »

  1. […] en version longue; King Arthur en Director’s Cut; Benjamin Gates; Pearl Harbour et surtout Armaggedon, le tout dans un coffret? Le […]

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