Hullo everyone! 🙂
Retour aujourd’hui dans un univers que j’aime d’amour depuis ma plus tendre enfance, un univers sci-fi délicieux fait de séries et de films qui sont tous plus addictifs les uns que les autres. 😉
Cette fois, donc, nous allons nous attarder sur le deuxième opus du ‘reboot’ de Star Trek, j’ai nommé: Into Darkness! Et je ne spoile rien! 🙂
Synopsis
Après une mission on ne peut plus délicate, Jim Kirk est mis à pied, l’Enterprise lui étant retiré au profit de l’Amiral Pike. Mais au même moment, Star Fleet est attaquée par un terroriste du nom de John Harrison, et Kirk en profite pour s’octroyer l’honneur de le conduire en justice…
Iconic villains arise!
Le premier Star Trek de la mouture J.J. Abrams aura créé ce que les puristes Trekkie comme moi nomment désormais la ‘Kelvin timeline’, en gros, cet univers alternatif à la série d’origine créé par l’attaque des Romuliens sur l’U.S.S. Kelvin au début du film.
Nous sommes donc toujours dans cette timeline alternative, mais qui fait apparaitre peu à peu des personnages que les fans connaissent bien, voire trop bien. Si le novice ne comprend pas de suite à qui on a affaire, le fan, lui, aura les frissons dès qu’un certain nom sera prononcé pour la première fois à l’écran. 😉
Et si J.J. s’amuse toujours autant à jouer avec la série originelle, il n’en reste pas moins fidèle à son esprit, à son humour, et à ses personnages principaux. Qui ont tous plus moins d’importance que dans le premier film, comme Chekov et Scotty qui sont un peu plus présents cette fois.
Une très bonne suite qui tient aussi et peut-être surtout à son méchant, terriblement bien incarné par le Benedict le plus talentueux de sa génération. 😛
Band of Nerds
Parlons donc de ce fameux équipage.
Sur l’Enterprise, on trouve toujours Chris Pine (Outlaw King); Zoë Saldaña (Avatar); Zachary Quinto (Heroes); Karl Urban (Lord of the Rings) ❤ ; Simon Pegg (Shaun of the Dead); Anton Yelchin (Terminator: Salvation) et John Cho (Selfie).
Ils sont rejoints par Alice Eve (Night at the Museum III) qui, malgré qu’elle ne soit pas vraiment nécessaire à l’intrigue, n’est pas non plus catastrophique.
Quant au grand méchant, il est donc interprété par un Benedict Cumberbatch (Sherlock) qui ne cache en rien son enthousiasme d’être là. 😉
En résumé, Into Darkness est, dans la lignée du premier opus, un très bel hommage à la série-phare des années 60, et je ne me lasserai jamais d’entendre: ‘Space. The final frontier. These are the voyages of the spaceship Entreprise…’. CHILLS. ❤
Notes
Bigregirl: 8,75/10
Rotten Tomatoes: 8,4/10
Allôciné: 8/10
Note moyenne: 8,3/10
Bandes annonces
Fiche technique
Titre: Star Trek: Into Darkness
Réalisateur: J.J. Abrams
Scénaristes: Roberto Orci, Alex Kurtzman, Damon Lindelof
Producteurs: J.J. Abrams, Bryan Burk, Roberto Orci, Alex Kurtzman, Damon Lindelof
Société de distribution: Paramount Pictures
Musique: Michael Giacchino
Durée: 132 minutes
Rating: PG-13 (interdit aux moins de 12 ans)
Langue originale: Anglais
Basé sur: Star Trek, créée par Gene Roddenberry
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