The Mortal Instruments: City of Bones (Ciné)

Hello les zens. Alors, pendant que dans un monde meilleur mes leçons se pondent toutes seules, j’ai décidé de faire une pausinette bien méritée et de regarder un film qui me faisait de l’oeil et qui n’est toujours pas sorti dans mon pays (si, ça arrive).

Je veux bien sûr parler de Mortal Instruments.

Je vais vous dire un truc: le prochain qui compare MI à Twilight, je pense que j’en fais de la chair à Luke. (Vous comprendrez le pun plus tard).

Je ne spoile rien!

L’histoire de Mortal Instruments est la suivante: Clary Fray est une ado comme les autres à part qu’elle voit des symboles bizarres partout. Un jour, elle croise la route de Jace, un Chasseur d’Ombres qu’elle n’aurait jamais dû être capable de voir. Et elle le voit tuer un homme, ou ce qu’elle pense être un homme. Le lendemain, sa mère se fait kidnapper, et la vie de Clary se retrouve chamboulée…

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Franchement, je n’aurais pas cru que le scénario aurait cassé trois pattes à un donald, mais en fait, j’ai été étonnée.

Le scénario tient la route, avec quelques rebondissements inattendus, dont l’un de je vais vous parler dans quelques secondes, soyez patients, merde!

Mais surtout, et je pense que c’est là bien la plus belle qualité du film…c’est qu’il se repose sur un casting sans aucune fausse note.

Et je le pense.

Dans le rôle de Clary, on retrouve Lily Collins, fille de, certes, mais qui offre une jeunesse et une fraicheur à un personnage au départ mal parti pour gagner les grâces de la population. Quand on pense qu’elle a fait le casting pour être Bella Swan, ça me donne envie de remercier le ciel qu’elle ait été refusée (trop expressive, sans doute).

Dans le rôle de Jace, le bogoss de service (mais pas que) à l’accent bizarrement britannique (le bizarrement étant ironique, of course), je retrouve ma tête de turc préférée, Jamie Campbell Bower. Sauf que j’ai changé d’avis à son sujet. Comme quoi, il suffisait qu’il ait un rôle à sa mesure. Et accessoirement vraiment, vraiment charmant. Et badass à la fois.

Okay, vous avez saisi, je pense.

Dans le rôle de Simon, le meilleur ami amoureux de service (il en faut souvent un), Robert Sheehan, et là, vous vous demandez « Mais c’est qui ça? » Eh bien, chers amis qui aimez Misfits, ben…c’est Nathan. Les cheveux légèrement plus courts et dans un rôle légèrement moins chtarbé, mais c’est bien lui.

Dans le rôle de Jocelyn, la maman qui cache bien son jeu, on retrouve le minois cette fois-ci harmonieux de Lena Headey, qui lorsqu’elle n’est pas peroxydée joue très bien les bonnes mères (pour une fois qu’elle en joue une, profitez). Ah, Cercei…

Dans le rôle du mentor un brin dérangé et lui aussi britannique (excusez, Irlandais, j’ai pas fait exprès m’sieur), Jared Harris, lui aussi fils de, mais que la cinésphère connait désormais pour avoir fait flipper les gens dans leur fauteuil dans le rôle du psychopathe le plus détesté de la littérature, James Moriarty. Dans le film, hein, pcq dans la série, c’est Andrew, et je l’aime.

Et dans le rôle du grand vilain du schmilblick, le seul, le grand, le désormais sobre Jonathan Rhys-Meyers, encore à moitié à oualp (mais dites-moi que vous n’aimez pas le spectacle, pcq moi j’ai aimé graaaaandement), et qui joue décidément affreusement bien les psychopathes de service. « Scusez, sociopathe. » Non, Sherlie, je t’assure, psy.

Why hello there, bad boy…

Mais ban, comme à chaque fois, faut bien qu’il y ait un personnage (ou en l’occurrence une tête) qui me donne envie de sourire comme une conne et qui me fasse dire des « Han, mais qu’est-ce qu’il est canon. » Ici, par exemple, alors qu’il avait joué un vampire dans Being human, le voilà loup-garou. Et affublé du nom de Luke. Haaaan.

On notera donc que, même si dans The Hobbit j’ai craqué sur Fili, dans Mortal Instruments… J’ai craqué sur Kili.

Aidan Turner, cet espèce d’enfoiré à l’accent leprechaun et à la barbe qui ne renierait pas son oncle fictionnel…Et un tite mèche grise juste pour souligner ses yeux noirs…

Oh bordel, refroidissez-moi.

Voilà donc, un bon, très bon casting, une histoire qui certes emprunte de nombreuses références à ses grandes soeurs fantastiques (Dracula, Being human, Harry Potter, et j’en passe) mais qui sait s’en éloigner et se faire un nom.

J’aurais dû vous parler des scènes de combat, juste flawless…

En soi, pour un teen movie, un must-see.

Note: 7,75/10 (scénario: 7/10jeu: 8/10BO: 7/10addictivité: 9/10)

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Commentaires

8 réponses à « The Mortal Instruments: City of Bones (Ciné) »

  1. C’est pas le film de l’année, mais il est sympa ! Je valide 😀

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  2. Je ne l’ai pas trouvé aussi exceptionnel que toi, mais il est quand même bien plaisant à regarder. Et ça ne ressemble pas à Twilight, mais je pense que le film va souffrir pas mal de la comparaison.
    Et Aiden, oh Aiden… où qu’il joue, je craque pour lui (Mitchell, Luke, Kiliiiii !)

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    1. J’l’ai pas non plus trouvé exceptionnel, juste moins nul que je n’aurais cru…
      Aaah, Mitchell…cet enfoiré, quand ils ont dû le tuer, j’ai juste hurlé à la mort…

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  3. […] Une bonne surprise comme je n’en ai que trop rarement désormais. Certainement pas un ersatz de Twilight. Alors là non. […]

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  4. […] 13. The Mortal Instruments: City of Bones, de Harald Zwart, avec Lily Collins, Jamie Campbell-Bower et Aidan Turner […]

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  5. […] The Mortal Instruments: City of Bones (Ciné): un film agréable mais qui en rétrospective n’était pas […]

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  6. J’ai pas vu le film, je n’ai vu que la série comparé à ce format je loupe un truc ? Sinon les livres me font de l’oeil mais à plus de 18€ le bouquin quand il y en a 6 + les préquels ça fait mal au porte monnaie.

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  7. […] fondre la calotte glaciaire…😄 Bref, Aidan a interprété Luke Garroway dans le récent Mortal Instruments (arf, la barbe, rrrrr…) et tourne en ce moment-même la série Poldark, un period drama […]

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