Alohomora review!
Accio discussion sur le premier opus de la franchise qui a bercé mon adolescence, Harry Potter and the Sorcerer’s Stone, dubbé en VF Harry Potter à l’École des Sorciers!
Diffindo spoilers, il y en a quand même quelques uns. 😛
Synopsis
Je jeune Harry Potter vit chez son oncle et sa tante Dursley depuis que ses parents sont morts dans un accident de voiture, lui laissant une cicatrice en forme d’éclair sur le front. Mais le jour de ses onze ans, Harry découvre pourquoi tant de choses bizarres se passent autour de lui: il est en vérité un sorcier, et ses parents ont été tués par le mage noir Lord Voldemort. Harry débarque alors dans un monde qui lui est totalement inconnu, et dans lequel il est pourtant une célébrité…
Bébé sorcier deviendra grand
Ce qui a été intéressant dès le début avec cette franchise, c’est qu’au départ, le spectateur (ou lecteur dans mon cas) est mis sur le même pied d’égalité que Harry. On ne connait rien du monde des sorciers, on le découvre en même temps que lui, au fur et à mesure des films.
Et tous les personnages ont leur importance. Si vous pensez que Seamus ou Dean ne servent à rien, attendez de voir. Si vous pensez que Oliver Wood et les autres joueurs de Quidditch sont inutiles à l’intrigue, attendez voir le cinquième tome…
Et vous avouerez facilement qu’il est impossible de ne pas s’identifier à l’un de ces jeunes sorciers ou sorcières. Tous les types de personnalité sont représentés, c’est donc virtuellement impossible de ne pas trouver son alter-ego dans les couloirs de Poudlard (ce qui rajoute au fantasme d’y aller un jour).
Un film bien plus innocent que tous les autres qui suivront, Sorcerer’s Stone nous emmène donc dans un univers presque familier (les rues de Londres, l’Écosse, on peut facilement se repérer), pourtant bien différent du nôtre, et qui fait rêver. Qui n’a pas attendu sa lettre de convocation à Poudlard? Qui n’a pas tenté de traverser le mur de la voie 9 3/4? Qui n’a pas imaginé ramasser un bâton et qu’il se transforme en baguette magique?
Cet opus démarre donc sur les chapeaux de roue une franchise qui nous occupera pendant dix ans.
Les enjeux sont présentés dès le départ: vaincre Lord Voldemort qui, contrairement à ce que l’on croyait, n’est pas vraiment mort. Et si trois gamins de onze ans sont capables de passer outre un cerbère, des lianes tueuses, des clés volantes violentes, un jeu d’échec géant et mortel, et un miroir vicieux, alors, imaginez ce qu’ils deviendront une fois grands?
Nous, on sait. Des badass.
La réalisation de Chris Colombus, aussi, permet de créer une atmosphère de film pour enfants très agréable. Un univers qui s’assombrira au fur et à mesure, mais qui, pour l’instant, reste lumineux et coloré comme le dortoir d’Harry et Ron. 😉
Amortensia, please
Allez, parlons maintenant de l’atout majeur de cette franchise et de ceux qui nous ont, ne mentez pas, appâtés comme jamais: le casting.
Harry, Ron et Hermione, nos trois petits comparses et ceux avec qui nous allons grandir, mine de rien, aurons donc les traits des choubidous Daniel Radcliffe (Now you see me 2); Rupert Grint (Snatch) et Emma Watson (Beauty and the Beast). Ce fut un honneur, les loulous.
Ceux qu’ils ont la chance d’avoir comme professeurs, eux, ont parmi leurs rangs: Dame Maggie Smith (Downton Abbey) en Minerva McGonagall, aka the GOAT; Sir Richard Harris (Gladiator) en Dumbledore; Alan Rickman (Die Hard) en Severus Snape (aka the Bitch); ou encore Warwick Davis (Willow) en Bilius Flitwick.
Parmi les autres, en vrac: Ian Hart (Agents of S.H.I.E.L.D.) en Professor Quirrell; Robbie Coltrane (Goldeneye) en Rubeus Hagrid; Dame Julie Walters (Mamma Mia!) en Molly Weasley, et la très chouette Zoë Wanamaker (Doctor Who) en Mrs Hooch, l’arbitre de Quidditch.
Quant à mon premier coup de cœur Potterien, il se nomme Oliver Wood (Dubois en VF), il est Écossais, il est capitaine de Quidditch, et je l’aurais épousé sur le champ en 2001… XD (Thanks Sean Biggerstaff (Miss Marple) d’être aussi craquant.)
En résumé, Sorcerer’s Stone est la première pierre (lol) à un édifice qui n’aura fait que bonifier avec le temps (pas comme son auteure) et qu’il est toujours jouissif de retrouver, année après année… Nostalgie quand tu nous tiens. 😉
Notes
Bigregirl: 8,5/10
Rotten Tomatoes: 8,1/10
Allôciné: 8,2/10
Note moyenne: 8,2/10
Bandes annonces
Fiche technique
Titre: Harry Potter and the Sorcerer’s Stone
Réalisateur: Chris Colombus
Scénaristes: Steve Kloves, J.K. Rowling
Producteur: David Heyman
Société de distribution: Warner Bros Pictures
Musique: John Williams
Durée: 152 minutes
Rating: PG (déconseillé aux moins de 10 ans)
Langue originale: Anglais
Basé sur: Harry Potter and the Philosopher’s Stone, de J.K. Rowling
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