I, Frankenstein (Ciné)

Eh oui, ma playlist ciné se poursuit… Et si j’ai fait un écart en regardant la bouse dénommée The legend of Hercules (qui n’aura donc pas droit à une review en bonne et due forme vu que la seule chose que j’y ai apprécié c’était Liam McIntyre (qui est canon)), cette fois, c’est un film pas si mal que ça qui m’a occupée.

Moi j’aime bien les films basés sur la littérature fantastique. Et après Van Helsing, voici qu’arrive I, Frankenstein au grand galop.

Et avec un bon casting en plus. 😉

Pas de spoils!

I, Frankenstein est centré sur le monstre du même nom, une créature immortelle et sans âme que convoite le prince des démons Niberius. Frankenstein, renommé Adam par la reine des Gargoyles Leonore, survit des siècles et combat les démons, mais la bataille finale pour sa liberté approche…

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Ce qui est intéressant dans ce film, c’est que contrairement à la plupart des mythologies qui font cohabiter Frankenstein et vampires ou loups-garous, c’est qu’ici, Adam cohabite avec des créatures issues de la Bible: les démons, anges déchus, et les Gargoyles, allégorie de l’ange gardien. Adam, qui est une abomination pour les Gargoyles à la base puisqu’il n’a pas été créé par la main de Dieu mais par celle de l’Homme. Et ça donne un scénario ma foi assez intéressant.

En fait, je rapprocherais ce film de la saga Underworld (eh oui, pour moi c’est un compliment) par la noirceur du décor et les thèmes abordés. Démons, vampires, ça se rapproche, mine de rien. Mais en même temps, je devrais pas être étonnée puisque l’auteur de I, Frankenstein est aussi l’auteur…de Underworld. Voilà.

Donc, oui, c’est pas le scénar parfait, mais c’est pas mal du tout.

Mais bon, ne soyons pas radins d’éloges, ce qui fait le film, c’est surtout le casting rassemblé pour l’occasion. Voyez plutôt.

Aaron Eckhart, je n’en ferai pas une apologie non plus, parce que lui ou un autre ç’aurait été pareil. Surtout que quand on déforme sa voix pour avoir l’air plus bestial, c’est juste d’une inutilité pitoyable. Mais bref. Pas mon préféré donc.

Niberius, le grand méchant, est interprété par une valeur sûre du film fantastico-science-fictif, mon adoré Bill Nighy. Après avoir fait trembler les murs en Viktor dans Underworld, le voilà donc en démon classieux. Et laissez-moi rire sur le fait qu’on « tente » le suspense sur sa gueule alors que la voix du monsieur est reconnaissable entre trois millions.

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Leonore, la reine des Gargoyles, directe descendante des archanges, est incarnée par ma chérie Miranda Otto, qui fut autrefois ma tout aussi chérie Eowyn. Je l’adore, elle joue super bien, et son visage angélique se prête parfaitement bien au rôle.

Yvonne Strahovski interprète quant à elle Terra Wade, la scientifique qui tente de ramener ses cobayes à la vie, mais pour le Bien, hein, elle veut déparalyser les gens, attention! Et si sa Sarah dans Chuck n’était pas ma fille préférée, ici, elle s’en sort pas mal.

Et enfin, Jai Courtney incarne Gideon, le capitaine des Gargoyles, et il faut que je calme mes ardeurs, parce que ce gars te tape une classe de fou, le tout en tenue de cuir seyante avec moultes haches badass, et phew, heureusement qu’il était pas comme ça dans Divergent ou j’aurais été obligée d’aimer Eric. 😛

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Voilà, donc, les enfants, un bon film malgré quelques faiblesses comme souvent, mais vraiment, pour les amateurs du genre, un film à voir. 😉

Note: 7,25/10 (scénario: 7/10jeu: 8/10BO: 6/10genre: 8/10)

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Commentaires

3 réponses à « I, Frankenstein (Ciné) »

  1. Justement hier j’ai faillit le regarder mais quelque chose m’a retenu… lol
    Du coup ton avis tombe à pique et je pense le visionner sous peu 🙂

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