Hello les amis! Eh oui, avec mon souhait magnifiquement exaucé de retourner voir les Avengers, je n’ai plus eu de temps pour aller voir quoi que ce soit d’autre. Until now.
Fear not, my dear, for Dark Shadows is coming!!! Mouahahahahaha!
Review garantie sans spoilers!
Barnabas Collins a été transformé en vampire par sa maitresse éconduite, la féline Angélique. Des siècles plus tard, Barnabas retrouve la maison familiale en pleine déchéance…
Bon, d’abord, comme j’écris ces lignes, je ne me souviens déjà plus trop du film. Alors que je rentre d’être allée le voir. Idiocy. Prouvant dès lors qu’il est loin (oh, so very loin) d’être le meilleur de la fournée Burton, qui, soit dit en passant, est mon réalisateur préféré de chez. Je l’adule. Je le vénère. Et je veux avoir la coiffure d’Edward Scissorhands. Point barre.
Bon, il faut quand même admettre ça, le casting est yummy. Juste yummy. Entre l’éternel Johnny (muuuuuse de Tiiiim), Helena Bonham Carter qui pourrait même jouer une sardine et être crédible, on retrouve Eva Green en evil bitch from France (avec l’accent pourrave qui va avec, mais bon, apparemment, on lui a demandé d’en faire un peu trop), Michelle Pfeiffer, toujours aussi canon même quand elle ne porte pas de cuir (Catwoman, rrrr), et l’inénarrable Jonny Lee Miller, oh mon dearest Mr Knightley, how good it is to see you! 🙂 Bref, j’ai surkiffé.
Autre surkiff, la BO. Of course, comme le film se passe dans les années 70, y a que de la bonne zik. Et passons sur la gamine vraiment awesome qui écoute du Bowie à pieds nus. J’adoooore! Et Alice Cooper en guest? Pure treat.
Vraiment gros bémol à c’te film? J’ai décroché au bout de trente minutes. Bad idea. Ca m’arrive rarement, mais, soit dû au nombre plus qu’impressionnant de fois que je pense aux Avengers par jour, soit dû à ma fatigue chronique de rentrage de vacances en « Made in Normandie », là, j’ai bien bien bien décroché.
Poor Tim. Je t’aime, pourtant, tu le sais. Mais rien ne pourras surpasser Edward, Mr Jack et Sweeney Todd dans mon coeur. J’aime quand ça pisse le sang. J’aime les blagounettes pourraves. J’aime pas Eva Green qui surjoue. Rule 1: ne jamais désappointer une fan, Tim. jamais!
Sur ce, je m’en vais manger une tonne de frites (les Français n’ont aucun gout pour les moules-frites, même à Barfleur), et je vais sûrement me faire un ptit Alice pour décompresser. Et faire mon deuil. Dear me.
Note: 7/10 (scénario: 5/10 (faute d’avoir tout retenu) – jeu: 8/10 – BO: 8/10 – Timisme: 7/10 (not your best, far from it, darling))
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