Hello les gens!
Je vous arrive avec une review qui me tient particulièrement à cœur pour plusieurs raisons, et la première d’entre elles est que ce film dont nous allons parler aujourd’hui est un film du grand, du très grand Tim Burton.
Un film qui aura transposé sur grand écran un univers qui n’attendait que lui, celui d’Alice au pays des merveilles.
Alice in Wonderland, sans spoilers, c’est par ici! 🙂
Synopsis
Alice Kingsley a vécu une bonne partie de son enfance à rêver de lapin en gilet, de chats invisibles et de chenilles accros à la nicotine. Et le jour où sa mère décide de la fiancer à Hamish, un bon parti loin d’être son genre, Alice voit apparaitre le fameux Lapin Blanc…et s’empresse de le suivre à Wonderland, pays de ses rêves d’autrefois…
Welcome to a world of Wonder
Alice in Wonderland est un dessin animé que tout fan de Disney a déjà vu au moins une fois dans son existence. Un film que, pour certains, nous n’aurons qu’une fois, tant il est…particulier…effrayant…totalement barré.
Petite, cette histoire me fascinait déjà. Un chat qui se rend invisible; un Chapelier qui chante sur les non-anniversaires; des roses peintes en rouge… La fantasy était née dans mon esprit. Et ça tombe bien.
En effet, Alice est l’une des premières héroïnes à avoir levé haut les couleurs de ce genre littéraire qui est né en partie grâce à son auteur, le génial Lewis Carroll. Et si vous aimez les jeux de mots et les récits qui n’ont ni queue ni tête, je vous conseille de lire cette pépite.
Le dialogue entre Alice et le Jabberwocky est particulièrement savoureux. Incompréhensible, mais savoureux.
Tim Burton, le grand réalisateur derrière d’autres pépites comme Edward Scissorhands ou encore Nightmare before Christmas, aura donc eu la science infuse lorsqu’il décida d’infuser, justement, sa patte loufoque à un univers déjà complètement barge.
La fusion des deux fonctionne terriblement bien. On retrouve l’esprit d’un Burton, mais aussi l’univers du dessin animé de notre enfance. Les personnages sont tous terriblement attachants (oui, même la Reine de Cœur), et les effets spéciaux ne vieillissent pas mal, pour autant qu’on s’accroche à l’idée d’être dans un univers parallèle. 😉
We’re all mad here…
Allez, parlons casting.
Alice aura eu le bon gout de révéler au grand public une jeune fille qui, par la suite, nous régalera de sa Jane Eyre et dans le très dark Crimson Peak, une Australienne à la voix toute douce du nom de Mia Wasikowska.
Elle est secondée par un Chapelier Fou qui sied plus que bien à Johnny Depp. La douceur et la folie du personnage lui vont comme un gant, et il est juste…merveilleux.
Côté monde ‘réel’, Alice se promène avec, entre autres, Lindsay Duncan (Rome); Tim Pigott-Smith (V for Vendetta, Quantum of Solace…); ou encore Geraldine James (Sherlock Holmes).
Sous terre, ou plutôt plus loin qu’un trou de lapin, les humains ont les traits des géniaux Helena Bonham Carter (Harry Potter, The King’s Speech, The Crown…); Anne Hathaway (One Day, The Devil wears Prada…); et Crispin Glover (Back to the Future, Charlie’s Angels), qui avait franchement manqué à mes mirettes…
Côté voix, on a, en vrac (et dans un casting plus que parfait pour chacun): Alan Rickman (Harry Potter, Die Hard…) dans le rôle d’Absolem la chenille; Sir Christopher Lee (Lord of the Rings, Star Wars…) en Jabberwocky; Michael Sheen (Underworld, The Queen…) en Lapin Blanc; Paul Whitehouse (grand humoriste britannique devant l’Eternel) en Lièvre de Mars; Imelda Staunton (Harry Potter) en fleurs; ou encore Stephen Fry (Sherlock Holmes, Fry & Laurie…) en Cheshire, aka le Chat le plus tripant de l’Histoire…
Et je finirai cette critique en vous avouant avoir vu ce film 5 fois en salles obscures, pendant un voyage linguistique en Angleterre. Et j’y serais encore retournée si mon voyage n’avait pas pris fin… XD
Notes
Bigregirl: 9,25/10
Rotten Tomatoes: 5/10
Allôciné: 6/10
Note moyenne: 6,75/10
Bandes-annonces
Fiche technique
Titre: Alice in Wonderland
Réalisateur: Tim Burton
Scénaristes: Linda Woolverton
Producteurs: Richard D. Zanuck, Joe Roth, Suzanne Todd, Jennifer Todd
Société de production: Walt Disney Studios
Musique: Danny Elfman
Durée: 109 minutes
Rating: PG (interdit aux moins de 10 ans)
Langue originale: Anglais
Basé sur: Alice in Wonderland, de Lewis Carroll
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